Sur les dernières années, les diplômés de Master 2 (PRO/RECH) se répartissent ainsi:
4 ans | Doctorat/Recherche | 39% |
Poste en linguistique/informatique | 50% | |
Recherche d'emploi | 4% | |
Autre/inconnu | 7% |
10 ans | Doctorat/Recherche | 40% |
Poste en linguistique/informatique | 46% | |
Reconversion | 2% | |
Recherche d'emploi | 3% | |
Autre/inconnu | 10% |
Remarque méthodologiques :
- Je ne distingue pas les postes temporaires et les postes permanents; aussi bien en recherche que pour les Postes en L/I.
- Je considère comme relevant du domaine aussi bien des postes à très forte composante informatique (voire pas du tout linguistique), comme ingénieur système, ou développeur web, que des postes presque pas informatiques, mais en lien avec le domaine, comme traducteur technique ou documentaliste.
- Les postes de linguiste informaticien, ingénieur linguiste, ou computational linguist, dans des boîtes directement liées au TAL, représentent 55% des postes sur 10 ans.
- On ne compte ici que les diplômés de M2 (ou DEA/DESS), ce qui représente environ 70 personnes sur 10 ans, mais pas les diplômés de L3 ou M1 qui n'ont pas fait le M2 à Paris Diderot.
- Doctorat/Recherche regroupe les étudiants qui se sont orientés vers un doctorat (que ce soit après un M2 R ou un M2 PRO) mais il y a eu quelques abandons de thèse qui sont pour le moment comptabilisés quand-même (on sera plus précis dans les statistiques à 30 ans!).
- La pertinence de notre formation pour la recherche reste importante, plus que ne le suggère la répartition Rech/PRO au fil des ans : 40% de nos diplômés de M2 s'engagent durablement (sinon définitivement) dans la recherche (bien sûr, cela pourrait s'expliquer par une certaine morosité du marché de l'emploi...).
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